Sous réserve des dispositions de l’article 226-14 du Code pénal, l’assistant(e) maternel(le) est tenu(e) de respecter le secret professionnel et d’observer une discrétion absolue et ne doit révéler à qui que ce soit, la vie privée des enfants accueillis et de leur famille.
Le manquement à cette obligation est passible des sanctions prévues à l’article 226-13 du Code pénal, et constitue une faute lourde. Conformément à l’article 9 du Code civil, l’employeur est aussi tenu de respecter la vie privée de l’assistant(e) maternel(le) et de sa famille et, a un devoir de discrétion lié à ses fonctions.